Le cabinet de recrutement Robert-Half vient de
publier, récemment, son étude intitulée: " Bonheur au travail, tout le
monde y gagne ". Cette étude menée auprès de 23000 professionnels (temps
plein et temps partiel) dans 8 pays. Cette étude révèle ce qui compte le plus pour les salariés et
détaille les mesures spécifiques que les employeurs peuvent prendre pour
accroître la satisfaction de leurs collaborateurs.
Parmi les composantes principales du
bonheur au travail, les personnes interrogées placent en priorité :
·
« Etre
traité équitablement et avec respect » (50,5%)
·
« Le
sentiment d’accomplissement » (49,2%)
·
« Être
fier de son entreprise » (48,6%)
·
« L’intérêt
du poste » (46,1%)
Le bonheur au travail est une affaire de tous le
monde :
L’importance du bonheur au travail
est reconnue par la grande majorité des personnes interrogées (91%) et beaucoup
estiment que la satisfaction au travail relève de la responsabilité
de tous, aussi bien du salarié que de l’entreprise (57%). 9% estiment
quand même que leur bonheur est uniquement entre les mains de leur patron.
Selon Olivier
Gélis, directeur général chez Robert Half : « Pour créer des
équipes heureuses, les entreprises doivent pouvoir s’appuyer sur des salariés
qui témoignent d’un vrai intérêt pour leur travail et qui ont le tempérament et
les compétences adéquates pour développer leur carrière sur le long terme. »
Il ajoute aussi : « En s’appuyant sur des collaborateurs
épanouis, les entreprises peuvent véritablement créer une culture du travail
positive ».
Le bonheur et l’argent :
Le bonheur au travail n’est pas lié
seulement aux statuts et aux nivaux de
salaires. D’autres facteurs tels que la formation et le niveau d’études sont
importants des axes essentiels. Pour une
partie des répondants, le travail ne se résume pas qu’à un salaire à la fin du
mois, 31% sont tout
de même prêts à accepter un salaire inférieur à leurs prétentions pour le poste
idéal.
Pour lire l'étude complète: https://www.positran.fr/fichiers/6790.PDF