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dimanche 25 septembre 2016

Bonheur: Une étude démontre que la méditation crée un réseau distinct de gènes (anti-âge) & améliore l’état de santé des cellules


La science rattrape la connaissance décrit par Patanjali dans ses Yoga Sutras, les références dans les Vedas et d'autres textes anciens. La méditation a été pratiquée depuis 5000 ans; démontrant l'impact positif qu'elle peut avoir sur le corps et l'esprit. Maintenant, la science a reconnu que la méditation peut avoir de puissants effets sur la santé humaine, car de plus en plus de recherche expose leurs avantages impressionnants.
Certains méditants les plus expérimentés étaient encore identifiés comme des puissances "super-humaine» en raison de la façon dont ils ont été touchés par cette pratique. Une étude récente publiée dans le Translational Psychiatry a montré comment la méditation peut être bénéfique pour la santé humaine et que la signature moléculaire des méditants est très différent de ceux qui ne pratiquent pas la méditation régulière.

Comment la méditation peut améliorer votre  santé cellulaire?

Un groupe de chercheurs américains a mené une étude des participants à un cours sur Deepak Chopra offres de bien-être pour une période de 5 jours à l'hôtel Omni La Costa Resort & Spa (Carlsbad, CA, USA). Les chercheurs invités les femmes âgées de 30 à 60 ans qui avaient aucune expérience dans ce domaine à méditer dans le cadre de l'étude, et ont été divisés en deux groupes:
Ceux qui ont participé en déclin ( «méditants débutants»), et ceux qui étaient simplement présents à la station ( "les vacancières"). Les chercheurs ont comparé leurs résultats et les femmes dans la réforme avaient le même âge et qui médité régulièrement ( «méditants réguliers»). La santé des participants ont subi un examen complet avant et après le séjour de cinq jours à la station, le évaluations de maintenance ont été réalisées pour une période de 10 mois.
Une méthode de mesures psychologiques standardisées avait été lancée pour identifier les symptômes de la dépression et les participants des niveaux de stress perçu, la concentration et la vitalité. Les participants ont un test sanguin pendant le premier et le cinquième jour de l'étude. Pour plus d'informations sur les détails de l'analyse de sang, le traitement, les biomarqueurs d'essai et des échantillons de sang pour le séquençage de l'ARN.
Santé-of-2 cellules

Bien que les trois groupes ont montré des améliorations significatives en matière de santé mentale, ils Débutantes méditants ont montré une grande amélioration dans la dépression, en particulier les 10 mois qui ont suivi. Toutes ces études ont montré que les effets de vacances à court terme améliorer le bien-être; Cependant, il est évident que présente également des avantages à long terme pour appendre fait la méditation.
Pendant les vacances, les gènes qui ont normalement faire face au stress, la cicatrisation des plaies et des blessures ont diminué. Parmi ceux qui avaient connu la régulation négative après le séjour / vacances et étaient MADAME FOXO3, qui sont tous deux appelés "gènes liés au stress." Cette étude est considérée comme la première documentation que l'intervention rapide et appropriée qui réduit le stress peut aussi diminuer sa manifestation.
Les chercheurs ont également identifié ce qu'ils appellent «l'effet de la méditation», par laquelle ils ont constaté que les méditants réguliers avaient un réseau indépendant de gènes avec des fonctions cellulaires qui peuvent être associés à l'anti-vieillissement. Alors que les vacances sont souvent favorables à l'expression de réseaux de gènes dans le bien-être, l'effet de «vacances» ne peut pas être maintenue pendant toute la vie, parce que vous ne pouvez pas en vacances tout le temps. Cependant, "l'effet de la méditation" peut être maintenue que si la méditation est pratiquée régulièrement afin que vous pouvez vous procurer vos efforts en continu des fruits.


De plus en plus d'études montrent que la méditation peut améliorer votre corps et l'esprit

Une étude de l'Université de Harvard a constaté que la méditation reconstruit la matière grise du cerveau en huit semaines seulement. Cette découverte surprenante a été faite en imagerie par résonance magnétique (IRM) du cerveau de 16 participants deux semaines avant l'étude et à la fin.
Une autre étude a révélé que Harvard méditation peut soulager les symptômes du syndrome du côlon irritable (IBS) et améliorer la santé de l'intestin. L'étude a montré que provoquer la «réponse de relaxation», qui est le terme scientifique pour la méditation, les participants ont montré un taux réduit de symptômes de l'IBS et de l'anxiété, de promouvoir une meilleure survie et une meilleure qualité de vie.

mercredi 21 septembre 2016

Communication: Les catégories de la communication (3)





C)  La communication paraverbale :

   Pendant une conversation, les personnes utilisent entre les messages composés de paroles, une série d'éléments non proprement linguistique.
   Trager[1] (1958) utilise le terme ''paralinguistique'' et en distinguent deux catégories :
La qualité de la voix (ton, résonance et contrôle de l'articulation), elle se réfère aux caractéristique individuelles du parlant.
Les vocalisations : les caractéristiques vocales (les pleurs, les soupirs, le rire) qui expriment les émotions, puis les qualifications vocales ( timbre, intensité, extension) et enfin les ségrégations vocales ( les sons tel que « eh », « bin », «uhm»)
   La communication para-verbale fait partie des composantes de la communication non-verbale selon Marino Bonaiuto ( dernier groupe N° 5) et qui regroupe : Les signes vocaux verbaux dotés de signification paraverbale, les signes vocaux non-verbaux et le silence.
Les  signes vocaux verbaux :

   Le psychologue italien Luigi Anolli (1945-2012) distingue 3 paramètres divers qui déterminent les caractéristiques de la voix, essentiels pour la compréhension de la l'énoncé linguistique : Le ton, l'intensité et la vélocité :
Le ton est égal à la fréquence de la voix( ton haut ou bas, selon les plus ou moins forte tension des cordes vocales): Cela varie fréquemment pour donner un accent interprétatif aux paroles à l’intérieur de l'énoncé ( du type conclusif, interrogatif, suspense, exclamation...) Par le ton de la voix descendant, par exemple, il est possible de communiquer que l'on est en train de terminer de parler.
L'intensité regarde le volume de la voix ( fort ou faible): grâce à lui il est possible de souligner, accentuer et emphatiser des éléments particuliers ( paroles ou expressions) par rapport aux autres.
La vélocité : est liée au temps de la succession des syllabes ( nombre de syllabes par secondes).

Les signes vocaux non-verbaux :

   Liés à la qualité de la voix de la personne parlante. Ils permettent de différencier un individu d'un autre, de reconnaître une voix familière au milieu des autres, ils sont aussi utilisés pour estimer les caractéristiques de la personnalité, de l'état d'émotion...

Le silence :

   C'est un instrument de communication de tres grand potentiel, mais il est difficile de l'interpréter, car il interfère avec les autres signes, avec le type de relation interpersonnelle, la situation communicationnelle et la culture de référence.
   Le silence joue souvent le rôle d'un instrument pour attirer l'attention quand la personne qui est supposée commencer de parler oblige le ou les partenaires à l'écouter plus attentivement.
   Plusieurs études mettent en évidence l'importance du rôle du contexte pour l'interprétation du silence. Si, par exemple, le silence est accompagner du détournement du regard ou de la tête, cela peut indiquer que l'on désire finir ou interrompre la communication.

  Conclusion : Pour communiquer efficacement et significativement, ces trois types ou catégories de communication : verbale, non verbale et para verbale doivent correspondre entre elles.
   




[1]     George.L. Trager (1906-1992) est un linguiste américain.

lundi 19 septembre 2016

Formation: Les niveaux d'évaluation des formations (Niveau 5)


Le niveau financier ou le retour sur investissement : (Niveau 5)
   Ce cinquième niveau ne figurait pas dans le modèle de Kirpatrick (1959) mais provient de l’œuvre de Hamblin (1974) puis popularisé par Phillips (1994, 1997).
   Le niveau financier correspond à l’impact financier de la formation en terme de rentabilité (Phillips, 2000). Il s’agit d’un retour sur investissement et  représente alors le surplus des gains financiers de la formation sur la valeur des coûts des investissements dépensés. Phillips (1994) À partir de la formule : Retour sur investissement  ꞊ Bénéfices de la formation – Coûts de la formation
Il développe 3 indicateurs de calcul du retour sur investissement :
- Le ratio bénéfices/coûts de la formation : Cet indicateur se calcule par : bénéfices /coûts de la formation. - Le pourcentage de retour sur investissement: Ce pourcentage se calcule par : ((bénéfices – coûts de la formation) / coûts de la formation)) x 100.
- Le temps de retour sur investissement : Cet indicateur permet de calculer  la durée à partir du quelle la formation devient bénéfique : les bénéfices supérieurs aux coûts.
   Néanmoins, les auteurs  font la remarque d’une difficulté dans la pratique quant à l’évaluation du niveau financier. Pour  Dunberry et Péchard (2007) il est  impossible et non pertinent pour les formations qui ne cherchent pas un bénéfice financier et impossible dans les organisations à but non lucratif par exemple.


mercredi 14 septembre 2016

Communication: Les catégories de la communication (2)




B)  La communication non verbale :

1- Historique :
   Les premiers recherches significatives sur la communication non verbale, qui ont permet à ce domaine d’être reconnu, remontent aux années 1972 sous l'impulsion du psychologue américain Paul Ekman. En voyage en Papouasie Nouvelle-Guinée, il s’intéressa aux méthodes de communication de certains tribus '' primitives ''. De ces études découlera la conclusion que l'homme quelque soient son origine, sa culture et sa religion est capable de se faire comprendre grâce à des expressions faciales particulières. Il identifie d'abord 7 :
La tristesse, la joie, la colère, la peur, le dégoût, la surprise et le mépris. En 1990, il complète son étude en incluant cette fois-ci la position corporelle dans ses observations. Ainsi, son panel de retranscriptions non verbales s'agrandit et incorpore dorénavant ce qu'il assimile à des « émotions positions » : La satisfaction, la gêne, l'excitation, la culpabilité, la fierté, le soulagement, le plaisir, la honte.

   2- Définition de la CNV:

   Le terme '' Communication'' signifie un échange dynamique, l'envoi et la réception des informations, pensées, attitudes, signes. Et le terme ''Non-verbale'' signifie tout ce qui n'est pas la parole, en pratique : Tout ce qui n'est pas le langage verbale, considéré comme moyen le plus raffiné et évolué à travers lequel les hommes entrent en relation réciproque. Par conséquent, la communication non-verbale peut être définie comme une construction et un partage des significations qui arrivent sans emploi se la parole.

   3- Composition de la communication non verbale :

   La communication non-verbale comprend un ensemble vaste et hétérogène de processus ayant des propriétés communicatives, et dans la littérature plusieurs classifications des procédés de la communication non-verbale. Pour Marino BONAIUTO[1] (2007), les éléments de la communication non-verbale sont disposés selon une échelle, commençant du haut vers le bas, par les signes plus manifestes ( aspect extérieur et comportement spatial) jusqu'aux ceux moins évidents ( mouvements des parties du visage, signes vocaux).
   Il y a donc :
L'aspect extérieur : formation physique, silhouette, vêtement.
Comportement spatial : distance interpersonnelle, contact corporel, orientation dans l'espace, parfum.
Comportement cinétique : mouvement du tronc et des jambes, gestes des mains, mouvements de la tète.
Visage : regard et contact visuel, expression du visage.
Signes vocaux : signes vocaux verbaux dotés de signification paraverbale, signes vocaux non-verbaux, silence.






[1]     Professeur de psychologie-Université de Rome.

dimanche 11 septembre 2016

Formation: Les niveaux d'évaluation des formations (Niveau 4)

Le niveau des résultats : (Niveau 4)

   Il s’agit du quatrième et du dernier niveau dans le modèle de Kirpatrick (1959), l’évaluation des résultats concerne les effets de la formation sur l’organisation. Dans ce niveau « La question est : la formation  a-t-elle permis d’atteindre les objectifs individuels ou collectifs fixés ? » (Meignant, 2006, p. 387). 
   Pour D. L. Kirkpatrick et J. D. Kirkpatrick (2006, p. 63), l’évaluation des résultats est la plus difficile à faire dans le processus d’évaluation. Cette difficulté revient à plusieurs obstacles dont les plus importants sont :
-   La difficulté de mesurer l’impact de la formation sur les résultats ;
-   Le retard de l’apparition des résultats de la formation ;
-   La culture organisationnelle et le collecte des données.
   Cependant, pour D. L. Kirkpatrick et J. D. Kirkpatrick (2006, p. 63) ce niveau est le plus important des 4 niveaux, car il représente plusieurs avantages pour l’organisation, la formation et les individus :
   - Permettre  aux  responsables d’une organisation de visualiser les résultats de la formation ;
   - Valoriser la qualité de la formation et de son efficacité ;

   - Vérifier la causalité du modèle entre les 3 premiers niveaux et le  dernier.

vendredi 9 septembre 2016

PNL: Pratique de la PNL 1/3

        Nous allons présenter, en trois articles , des situations de communication ratées, puis nous procédons par les techniques de la PNL à rendre ces communications efficaces.


I. La première situation : Entre les acteurs Mil GIBSON et Jodie FOSTER[1]

    Jodie : « Ouvre-le (boite du cadeau d'anniversaire du mariage), Henry (petit fils)            m'a aidé c'est-à-dire que j'ai acheté le bois et il a fait le travail (fabriquer              la boite du cadeau en bois) ».
   Mil : (Ouvre l’emballage).
   Jodie : « Une boite à souvenirs ».
   Mil : « Très jolie, merci ».
   Jodie : « Regarde dedans ».
   Mil : (Ouvre la boite).
   Jodie : « C'est pour se rappeler comment c'était, comment ça devrait être ».
   Mil : (Regarde les images de leur fils, lors de sa naissance, au dedans de la boite         et se met en rogne). 
   Jodie : (Essaie de le calmer) non, non, non, regarde-moi.
   Mil : C'est ça que vous voulez ? Vous trouvez qu'on avance ? Bon sang, femme !       Il souffre de dépression (parle de lui et de son état auparavant) pas d'amnésie.     Vous croyez que son problème, c'est l'oublie ?
   Jodie : Non...
   Mil : Il ne peut pas revenir en arrière. Le passé, c'est le passé. Et le déterrer, à            quoi ça mène ? Vous savez où il va, ce Walter-là (son prénom dans le film) ?        Sur  un balcon, au dixième étage, perdu à une tringle à rideau. C'est ça que           vous voulez ? Vous voulez que toute votre vie ressemble à ce soir ? C'était          ça, Walter.
   Jodie : Non Walter, vas-y. Regarde, regarde vraiment (Lui montre des photos).             Ça, c'est toi, tu te rappelles ? Quand Porter (le grand fils) est né. Il était si            petit... (Lui raconte l'histoire de sa naissance). C'est celui-là l'homme que             j'aime et dont j'ai besoin...On peut commencer comme avant.
   Mil : On n'empruntera plus cette voie Meredith (prénom de Jodie dans le filme).          Cet homme là (lui) est une impasse, il a disparu, il le fallait. Compris ?
   Jodie : J'ai lutté pour toi, respiré pour toi, ces deux ans où tu ne te levais plus                 (Il dort tous le temps à cause de sa maladie), et je continuerai parce que je           t'aime. Mais il faut que je croie à ton retour. Reviens, je t'en supplie.
   Mil : (Se met debout et sort en colère du restaurant).
   II. Examen de la situation :

   1.     Respect des critères :

        Dans cette première situation, qui respecte les trois critères fixés pour le choix des situations : Le première critère puisqu'il s'agit d'une communication interpersonnelle entre deux personnes un homme et sa femme dans le cadre du mariage. Le deuxième critère puisqu'elle traite la gestion de communication en couple. Et le troisième parce que la communication a été ratée pour plusieurs raisons.

   2. Examen des prédicats [1] :


    3. Les expressions utilisées :


III.Analyse des situations représentatives :

1. Analyse des prédicats:

       En analysant les mots et prédicats utilisés dans cette première situation, on peut facilement déterminer le type du système de représentation des deux parties de la conversation.
       Ainsi, les mots utilisés par 'Mil' font partie du registre kinesthésique tandis que les mots utilisés par sa femme 'Jodie' traduisent une dominance du système visuel.


2. Analyse des expressions : 



 IV. Intervention et remédiation des limites par les techniques de la PNL
     

A)  Les résultats de l'analyse de la situation :

         L'analyse des examens de cette situation, montre que les deux systèmes de représentation (VAKOG) des deux maries sont incompatibles, puisque le mari 'Mil' a une dominance du système kinesthésique tandis que sa femme a eu une dominance du système visuel !
         Cette incompatibilité est derrière le désaccord dans la perception de la réalité, elle aussi source de mal compréhension et mauvaise entente.
         En outre, l'analyse des expressions, surtout celles de la partie faible de la conversation (le mari), montre l’existence de plusieurs limites et lacunes surtout la lecture de pensée.
         Et ce sont ces mauvais choix d'expression, entre autres, qui sont derrière la mauvaise compréhension et les malentendus dans le couple !
         De ce fait, l'incompatibilité  des systèmes de représentation et les limites d'expression sont les causes du dysfonctionnement de la communication qui nécessitent une remédiation et une intervention par une des techniques de la PNL.

B)    Choix d'une technique d'intervention :

       L'objectif de ce travail est de rendre la communication efficace au moyen des techniques de la PNL. Toutefois, cette mission n'est plus facile comme elle semble ! Car jusqu'à maintenant, plusieurs étapes sont parcourues dans le processus d'intervention par la PNL. À ce stade, qui va faire la différence entre la situation initiale et la situation souhaitée, le choix d'une technique ou plus doit prendre en considération les problèmes détectés dans les étapes précédentes.
   Dans le cas de cette situation, la synchronisation verbale sur les prédicats et le méta-modèle sont de bons choix de remédiation.

C)  La nouvelle situation après intervention :

       Après le choix de la technique, il est important de signaler que le changement se fera en grande partie au niveau des paroles de la partie la plus aisée dan la conversation       ( qui aide l'autre à surmonter une difficulté ) et dans ce cas c'est la femme qui bien positionnée et c'est elle qui doit faire la synchronisation après l'observation et le calibrage et c'est elle aussi qui doit poser les bonnes questions du méta-modèle.

      Donc, après les changements, la situation devient comme suite :

   Jodie : « Ouvre-le (boite du cadeau d'anniversaire du mariage), Henry (petit fils)            m'a aidé c'est-à-dire que j'ai acheté le bois et il a fait le travail (fabriquer la           boite du cadeau en bois) ».
   Mil : (Ouvre l’emballage).
   Jodie : « Une boite à souvenirs ».
   Mil : « Très jolie, merci ».
  Jodie : « C'est vraie ! Alors prend-le entre tes mains, qu'est-ce que tu sens ? ».
   Mil : (Ouvre la boite).
   Jodie : « C'était des moments inoubliables mon amour ».
   Mil : (Regarde les images de leur fils, lors de sa naissance, au dedans de la boite          et se met en rogne). 
   Jodie : (Prends ses mains) Je t'aime encore mon âme !
   Mil : C'est ça que vous voulez ? Vous trouvez qu'on avance ? Bon sang, femme !        Il souffre de dépression (parle de lui et de son état auparavant) pas d'amnésie.      Vous croyez que son problème, c'est l'oublie ?
   Jodie : « Je veux qu'ont reste ensemble même avec ton cas que je le sens                    profondément ».
   Mil : Il ne peut pas revenir en arrière. Le passé, c'est le passé. Et le déterrer, à             quoi ça mène ? Vous savez où il va, ce Walter-là (son prénom dans le film) ?       Sur  un balcon, au dixième étage, perdu à une tringle à rideau.
   Jodie : « Oui mon amour je sens bien tes émotions et moi aussi je ne veux pas           revenir en arrière et le passé est passé. Pensons à notre avenir ! »
   Mil : «  C'est ça ce je veux ! Et je veux que tu m'aides à le faire. »
   Jodie : « Je t'aime et je ferai tous pour t’aider. »
   Mil : « Merci ma chérie ! »





[1]  Rappel : Les prédicats sont les mots les plus importants dans la communication, il s'agit surtout des verbes et des adjectifs.
[1]  Dans le film '' Le complexe du CASTOR'' .



mercredi 7 septembre 2016

Communication: Les Catégories de la communication (1)




   L'une des études les plus connues dans le monde, et qui précise les différentes catégories de la communication à travers l'influence de chaque type, a été élaboré par le psychologue Albert Mehrabian.
   L'expérience de Mehrabian consistait à estimer l'importance relative des mots, de la voix et des expressions du visages dans l'établissement, l'appréciation ou le rejet de quelqu'un, par exemple lors d'un entretien d'embouche, d'un rendez-vous...
   Les résultats de cette expérience sont connus sous le nom de « règle des 7% - 38% - 55% » ou « règle des 3V » et signifie que :
 7%  de la communication est verbale.
38% de la communication est vocale.
55% de la communication est visuelle.
   D’après Mehrabian, ces trois types de communication justifient la différence d’intérêt  que l'on éprouve pour une personne qui parle de ses sentiments : Les mots employé représentent alors 7% de notre appréciation, l'intonation 38% et le langage corporel 55%.
   De cette classification d'Albert Mehrabian, il est utile de classer la communication en trois catégories : La communication verbale, non verbale et para verbale.

A)  La communication verbale :

Définition de la communication verbale :

   La communication verbale est un mode de communication utilisant et passant par  la parole.
   D'un point de vue ethnologique, la communication verbale est un ensemble de sons émis dans le but d'établir une communication avec autrui.

Exemple :

   Concepts ( mots ou verbes ) pour formuler des émotions morales ou esthétiques.


Formation: Les niveaux d'évaluation des formations (Niveau 3)



Le niveau de transfert 
   L’évaluation du transfert  ou du comportement cherche la réponse à la question : « En quelle mesure les acquis des stagiaires (niveau 2) sont-ils effectivement utilisés par eux en situation de travail ? » (Meignant, 2006, p. 379). Elle forme le troisième niveau de Kirkpatrick (1959) et part du constat qu’une connaissance n’implique pas sa mise en application. Donc l’évaluation du transfert permet la mesure du   « degré de continuité entre l’apprentissage dans le contexte de la formation et les comportements en résultant » (Olian et al. 1998, p.24).
1. Les facteurs qui influencent le transfert : 
   Le transfert des acquis dans des situations  réelles trouve plusieurs difficultés chez les formés. En effet, l’évaluation des transferts présente, elle aussi, des difficultés quant à son évaluation. Dans ce cadre, Baldwin et Ford (1988 ; cités par Devos & Dumay, 2006) ont identifiés trois grands facteurs qui impactent le transfert : Les traits de la personnalité, la conception de la formation et le lieu de travail.                
   Par ailleurs, plusieurs facteurs concernant la motivation et le lieu de transfert ont un impact considérable sur le transfert. De ce fait, Delobbe (2007) constate que : « facteurs motivationnels et facteurs organisationnels s’entremêlent pour faciliter ou entraver le transfert d’apprentissage après la formation. Manifestement, leurs effets ne seraient pas exclusivement directs et cumulatifs mais aussi médiatisés et interactifs » (p. 85).
  Il est constaté alors, l’existence de nombreux facteurs qui influencent le transfert dont la motivation des individus et l’environnement du travail jouent un rôle crucial.
2. Outils d’évaluation du transfert :
   Il existe plusieurs méthodes d’évaluation du transfert et plusieurs conseils à prendre en considération dans sa pratique. Ainsi, d’après Dunberry et Péchard (2007) il est conseillé d’utiliser : 
- Les questionnaires, faire l’analyse des produits de l’activité et l’organisation de sessions de suivi de la formation ;  
- Un groupe de « contrôle », donner l’occasion  aux formés pour transférer les acquis, évaluer avant et après la formation, refaire l’évaluation à des instants différentes ;
- etc.

   Enfin, une des questions majeures relatives à l’évaluation de transfert, est celle du délai après la formation, à partir du quel l’évaluation est conseillée. Ainsi, d’après plusieurs recherches (Cuby, 2002 ; Devos & Dumay, 2006 ; Garnier et al., 1991 ; Kirkpatrick, 1998 ; Steib et al., 2003), cette évaluation peut se faire après deux jours jusqu’à 12 mois.