vendredi 16 juin 2017

Leadership: 4 conseils pour manager les personnalités ingérables!




  Dans le quotidien des entreprises, se confronter à des personnes difficiles à gérer est une réalité que doivent manager les responsables avec plus de rationalité. 
 Manager ces employés ingérables demandent la maîtrise de plusieurs pratiques et l'acquisition de nombreuses compétences. 
   Alors, comment manager ces employés difficiles? 
   Nous vous présentons 4 conseils utiles pour rendre le management et le leadership de ces personnalités plus facile. 

1- Recadrer la notion d'ingérabilité :

   Une personne dont les actes au sein d'une entreprise se limitent à quelques retards non systémiques, n'a rien à voir avec une autre personne dont les actes dépassent à des formes de violence verbales ou à une absence de communication. 
   Il faut donc bien recadrer, revoir et distinguer les actes des personnes ingérables de ceux des cas isolés et non systémiques. 

2- Chercher à comprendre les motifs:

   Tout acte n'est que la partie extérieure de l'iceberg de la nature humaine. Dans le but de comprendre ces personnes ingérables, il faut, tout d'abord, bien observer leurs comportements . Ensuite, il faut essayer de comprendre les vrais motifs de leurs actes et chercher à décrypter les messages cachés au fond. Dans la plupart des cas, la compréhension des besoins des employés, entant que motifs,  permet de bien répondre à leurs besoins et faciliter ainsi  leur management.

3- Regarder à la partie remplie du verre: 

   Chercher les défauts des employés n'est pas une pratique des grands leaders.  Un bon leader connais bien les lacunes de ces collaborateurs, il les aide à les combler. Mais, le plus important c'est le renforcement de tout acte positif qui fait un bon leader.
   En effet, il faut travailler sur les points forts des employés afin de renforcer la confiance et la collaboration dans les équipes.

4- Communiquer avec confiance: 

 La confiance construite avec les collaborateurs en adoptant une position positive à l'égard leurs actes,  est la clé pour ouvrir des discussions sur les formes d'ingérabilité au sein de l'entreprise. 
   La communication, est alors,  ouverte avec toutes ces personnes afin de bien comprendre leurs besoins et réduire par la suite les conflits organisationnels. 

   L'ingérabilité est un enfant qui besoin d'être écouté, compris pour la rendre une force grâce à un bon management des différences. 

lundi 12 juin 2017

Bonheur: 3 méthodes efficaces de réussite par le bonheur


   La majorité des gens considère que le bonheur est un résultat naturel de la réussite. Les expressions comme: "Une fois que j'aurai réalisé mes objectifs au travail,je serai heureux" confirment la propagation de cette vision envers la relation bonheur/réussite. 
   En réalité,  plusieurs chercheurs  (Sonja Lyubomirsk, Laura King et Ed Diener) ont démontré que c'est l'inverse qui se produit:  Les employés qui travaillent avec un esprit positif réussissent plus et leur performance s'améliore en terme de productivité  (31% de plus), d'engagement et de créativité  (×3).
   Aors, comment les employés peuvent-ils devenir plus heureux et réussir dans leur travail? 
   Dans cet Article, nous présentons 3 méthodes efficaces de réussite par le bonheur. 

1- L'adoption de nouvelles habitudes: 

   Les recherches récentes sur la neuroplasticité* montrmontrent l'effet des nouvelles habitudes sur la transformation du cerveau. D'autres travaux  (Shawn Achor) sur des groupes de fiscalistes de KPMG aux USA ont démontré que la pratique d'une habitude positive, pendant 3 semaines,  a permis aux fiscalistes  (groupe expérimental)  d'être plus heureux que leurs collègues  (groupe témoin)  et d'augmenter l'indicateur de la productivité et du bonheur au travail  (de 22,96 à 27,23 sur 35). Il est à noter que ces résultats ont été remarquer après le quatrième mois du début de la formation aux nouvelles habitudes.

2- Le soutien des collègues:  

   Parmi les habitudes positives les plus efficaces sur les résultats au travail figure le soutien social. 
   En effet,  plusieurs recherches  ( Ochsner Health System) ont démontré les bienfaits du soutien social: 
- Sur la santé à même effet que la pratique du sport;
- Principal indicateur du bonheur en périodes de stress;
- Rendre les employés plus heureux; 
- Augmenter les chances d'obtenir une promotion de 40%;
- Implication positive dans le travail; 
- Améliorer la satisfaction des clients. 

3- Regarder au stress positivement:  

   Le stress est une réalité commune entre la vie de tous les travailleurs. Toutefois,  la plupart des gens ont un regard complètement négatif au stress:  il est considéré comme étant un obstacle devant leur évolution. 
   En réalité,  la vie et la biographie des grandes personnalités au monde  ( Gates, Edison, Jobs...) étaient une succession de réussite et d'échecs avec pleins de stress. 
   Donc le stress n'est pas qu'un obstacle devant l'évolution mais une force pour dépasser ces obstacles. 
   Ainsi, des études sur l'effet du changement d'attitude envers le stress ont démontré que les personnes ayant un regard positif ont obtenu de bons résultats sur: 
- L'échelle d'état d'esprit face au stress; 
- La baisse des problèmes de santé; 
- L'augmentation du bonheur au travail. 

   Il est donc claire qu'à l'aide de ces méthodes d'augmentation du bonheur, les employés ont de fortes chances à réussir et améliorer leur travail. 

* Capacité du cerveau à changer.

samedi 10 juin 2017

Leadership: 4 principes de leadership des entreprises familiales


   Les entreprises familiales jouent un rôle  très important dans l'économie mondiale avec 80% du entreprises du monde. Cependant,  la Family Business Institute affirme que seulement 30% passent à la 2ème génération,  12% à la 3ème et 3% survivent à la 4ème génération et plus.
   Alors, comment ces entreprises peuvent-elles maîtriser leur management et faire évoluer leur leadership? 
   Dans cet article,  nous verrons 4 principes clés de leadership des grandes entreprises familiales.

1- Une gouvernance solide: 

   Établir une gouvernance structurée et solide constitue une étape indispensable d'une part, pour attirer et recruter les meilleurs cadres et d'autre part, pour la continuité d'activité tout en séparant la vie privée de la vie professionnelle. 

2- Un collaborateur familial au centre du fonctionnement: 

   Le deuxième principe de succès, qui distingue les entreprises familiales des non familiales, est ce que des spécialistes appellent :" Le centre de gravité familiale " .
   Il s'agit d'un collaborateur qui, à travers la clarté de vision, le recrutement des talents et l'adoption de stratégies orientées vers les clients, assure la stabilité et accroît les bénéfices de l'entreprise. 

3- La recherche des futurs leaders:

   Pour atteindre la vision stratégique,les entreprises familiales sont toujours à la recherche ou la formation des leaders de demain. Cette recherche, assumée par le collaborateur familial, est soumise aux exigences telles que:
- L'adoption des valeurs et la culture de l'entreprise; 
- Le potentiel et la capacité d'évolution; 
- Les compétences de management et de leadership. 

4- Un processus méthodique de succession: 

  La sélection d'un nouveau P-DG par exemple,  se trouve face à trois choix qui sont, par ordre de préférence pour les entreprises:  Un membre de famille, un collaborateur interne ou un cadre externe. 
   Néanmoins,  de nombreuses études montrent que la réussite du processus de succession est liée à l'adoption d'un processus de nature méthodique et professionnel. 
   Ce processus de sélection passe par trois étapes:  La première consiste à bien définir, par un comité officiel, le poste et le postulat. La deuxième est celle de sélection des candidats  (1ère et 2ème sélection). Et la troisième étape vise l'intégration du nouveau successeur au sien de l'entreprise. 

   Plusieurs autres travaux  (Crédit Suisse,  Family Business Network) ont montré que plusieurs entreprises familiales existent depuis longtemps et prospèrent grâce à ces 4 principes de leadership. 

mercredi 7 juin 2017

Marketing: Les 4 leviers pour accroître la certitude des clients

 
   L'un des rôles majeurs de la fonction marketing dans les entreprises est de persuader les consommateurs à faire des achats. Pourtant,  cette mission est de plus en plus compliquée à réaliser.
   Plusieurs recherches en psychologie du consommateur et en psychologie sociale, ont prouvé l'influence  de la certitude qu'ont les consommateurs dans leurs convictions sur les chances d'effectuer des achats. 
   Alors, comment les entreprises peuvent-elles accroître cette certitude chez les consommateurs? 
   Dans cet article, nous présentons 4 leviers pour dynamiser la certitude: Le consensus,  la répétition,  l'aisance et la défense. 

1- Le levier du consensus:  

   Les individus, par nature, suivent le comportement des groupes. Selon "l'effet de consensus" : Les individus deviennent plus sûrs de leurs opinions lorsqu'ils pensent que d'autres personnes ont les mêmes opinions. 
   Pour renforcer la certitude par le levier du consensus,  l'entreprise peut utiliser plusieurs méthodes. La première est l'utilisation des enquêtes de satisfaction et les commentaires en ligne, puis recevoir un feedback sur similitude avec les autres opinions. 
   L'entreprise peut aussi, en remarquant les opinions exprimés, renforcer ces derniers en les démontrant plus généralisés et plus partagés. 

2- Le levier de la répétition

   Il s'agit de donner l'occasion aux clients pour exprimer leurs opinions à plusieurs reprises. Les recherches ont démontré qu'elle permet d'augmenter la certitude en leurs points de vue, les défendre et les partager .
   La mise en oeuvre de ce levier peut s'effectuer par l'encouragement des clients à exprimer,  en permanence,  des opinions positives sur l'entreprise. 

3- Le levier de l'aisance: 

   L'aisance, dans ce sens,  désigne la facilité avec laquelle une idée vient à l'esprit. La réponse,  par exemple, à une question sur les marques préférés du soda divise les réponses entre des réponses très rapides et d'autres nécessitant plus de temps pour réfléchir. 
   Les recherches ont trouvé que plus une idée vient facilement à l'esprit (l'aisance) plus les consommateurs sont sûrs  (la certitude). 
   Pour l'application du levier, des chercheurs ont constaté l'impact de la présentation des questionnaires de satisfaction  (police,  couleurs...) sur la confiance aux réponses des clients. 

4- Le levier de la défense:  

   En psychologie sociale  ( William McGuire) nos convictions deviennent plus fortes en les exposants à une attaque contre nos points de vue.
  De nombreuses études ont constaté que la défense d'une opinion  (en faveur d'une marque)  renforcé la certitude, la fidélité et la promotion du point de vue.
   Pour l' application de ce levier, les spécialistes du marketing ont tendance à créer des situations suscitant le clients à défendre la marque pour consolider leurs certitudes.

vendredi 2 juin 2017

Communication: Les 5 règles d'or d'une négociation à l'international




   Savoir négocier avec une personne dont la façon de communiquer est culturellement différente est un défi de plus en plus fréquent. La multinationalissation des affaires nécessite aujourd'hui une maîtrise des règles de négociation à l'international.
   Nous verrons dans cet article les 5 règles d'or afin d'obtenir les meilleurs résultats.

   1- Exprimer le désaccord autrement: 

   L'expression "je ne suis pas du d'accord " a plusieurs interprétations différentes. Dans certaines cultures, l'expression appartient à une communication normale et saine. Cependant,  elle peut provoquer une rupture de communication dans d'autres cultures.
   À ce niveau, il faut faire attention aux signes verbaux:
- Les intensificateurs: Comme "totalement " , "complètement " et "absolument ".
- Les atténuateurs: Comme "en partie" , "peut-être " et "un peu".
   Les français et les allemands utilisent souvent ces intensificateurs pour un désaccord. Tandis que les Mexicains et les Thaïlandais utilisent beaucoup plus les atténuateurs.

2- Gérer ses émotions selon les cultures: 

   L'expression de ses émotions dans un contexte professionnel est interprétée différemment selon les cultures. Elle est considérée comme étant un signe de manque de professionnalisme dans certaines cultures (Allemagne,  Danemark, Pays-bas) où l'on fait la distinction entre la personne et son opinion.
   Il est donc primordial de savoir interpréter l'expression des émotions chez les interlocuteurs et de savoir s'adapter à chaque culture.

3- Établir la confiance: 

   Les recherches distinguent entre deux catégories de confiance:  cognitive et affective. La première provient de l'esprit et correspond à la fiabilité et aux compétences d'une personne. Et la deuxième, quant à elle,  provient du coeur et correspond au sentiment de proximité et d'empathie.
   Dans les négociations d'affaires,le type de confiance varie d'une culture à une autre. Par exemple, la culture américaine sépare l'émotionnel de la pratique c'est à dire la confiance affective de celle cognitive. En revanche, les chinois combinent les deux et développent des liens personnels dans les relations de travail.

4- Savoir formuler son questionnement: 

   Dans une négociation internationale, la signification de "oui" et de "non" n'est pas la même selon les cultures. Le "oui" employé, dans certaines cultures, signifie en réalité un "non" . Et dans d'autres, le "non" n'est pas une réponse finale mais une invitation à plus de discussion.
   Il est donc crucial de bien comprendre ce message. Et pour éviter tout malentendu, les spécialistes des négociations internationales nous conseillent de ne plus utiliser des questions fermées.

5- Préparer le contrat avec prudence:  

   En Afrique ou en Asie, les accords peuvent s'effectuer suite à un simple accord verbal. Par contre, en Amérique y a pas d'accord sans écrits.
   Il existe alors, une grande différence en matière de rédaction des contrats.  Les américains reposent sur les contrats écrits , les chinois considèrent la signature comme une étape parmi d'autres.
   Il est donc essentiel de traiter avec prudence tout ce qui concerne le processus de signature d'un contrat.

lundi 29 mai 2017

Bonheur: Ho’oponopono face aux conflits



   Dans la vie, la présence des conflits dans la communication est une réalité de la nature humaine. Cependant, gérer  et affronter ce conflit dans les meilleures conditions, n'est pas donné à tout le monde.
   Pour cette raison, plusieurs techniques et méthodes pour la bonne gestion du conflit en communication sont déjà connues et pratiquées dans la vie quotidienne. L'une des techniques les plus récentes est la méthode Ho'oponopono.
   Ho'oponopono est une méthode ancestrale hawaïenne pour se réconcilier suite à un conflit. Elle a été développée au XXe siècle par la chamane de cette même origine Morrnah Simeona, puis par les docteurs Ihaleakala L'en et Joe Vitale.

      Ho’oponopono est  un outil efficace d'évolution personnelle et une formule que l’on dit à l’intérieur de soi dès qu’un conflit ou une émotion forte et négative surgit devant nous.
   Ho'oponopono consiste à dire et à répéter, quotidiennement,  quatre mots  qui sont: 
 « Désolé, Pardon, Merci, Je t’aime ».


  - Désolé, signifie que l’on reconnaît le conflit et exprime la tristesse envers les dommages qui en découlent. 

 - Pardon, donne la possibilité de se pardonner à soi même et à l’univers d’avoir créé cette situation. C'est l'expression de sa responsabilité et de son intention à réparer les dommages. 

  - Merci, c'est l'expression de la gratitude face à la croissance intérieure qu'elle provoque et à la richesse de l'expérience. 

. Je t’aime, c’est le nettoyage de la mémoire limitante : sortir du négativisme et entrer en amour.

    La pratique de la méthode Ho'oponopono nous permet de:
- Bien gérer les conflis;
- Bien organiser notre vie;
- Diminuer les tensions et le stress;
- Se focaliser sur les pensées positives;
- Mieux gérer les émotions et les réactions. 

dimanche 28 mai 2017

PNL: Les 3 règles d'or du PNListe

   


 En PNL, communiquer, c'est établir un "rapport" c'est à dire une relation de confiance, d'harmonie, de compréhension et de coopération pour échanger dans les meilleures conditions possibles. Pour bien communiquer il est alors indispensable de suivre ces 3 règles d'or :

1- Fixer ses objectifs: 

   Il faut déterminer clairement ses objectifs et d'avoir un but précis qui sous-tend votre stratégie de communication. Il s'agit de transformer les désirs et les intentions souvent imprécises, confuses, compliquées en objectif : Réaliste, positif et spécifique.
- L'objectif réaliste: Cela veut dire définir un objectif  ''possible''. Par exemple : " Je veux devenir très riche" est un objectif peu réaliste pour les enfants qui le déclarent!
- L'objectif positif: Cela signifie qu'il est formulé en termes positifs et pas en termes négatifs qui ne marchent pas . Par exemple : " Je souhaite avoir de bons moments avec elle."
- L'objectif spécifique:  Un objectif concret et mobilisateur exige des critères spécifiques:  précis,  vérifiables et contrôlables.  Par exemple:  " Que voulez-vous pour votre petit déjeuner? " 
   Savoir formuler ses objectifs c'est se donner un maximum de chances de les atteindre. 

2- Le sens de l'observation: 

   Le communicateur efficace doit avoir le sens de l'observation c'est à dire il doit disposer d'une acuité sensorielle suffisante pour percevoir les réactions de ses interlocuteurs.
 Il s'agit d'observer les différents changements de comportement, de posture,d'attitude... qui sont des informations précieuses pour la prise de conscience de son impact réel et de réagir de façon approprié.

3- La flexibilité: 

 Le communicateur efficace doit faire preuve d'une grande capacité d'adaptation aux diverses situations rencontrés. Elle consiste d'une part, à reconsidérer ce que l'on veut : les objectifs. Et d'autre part,  à faire ce qui n'a pas marché d'une autre manière:  être créatif.
   En effet, l'objectif donne la direction, les observations confirment ou pas et la flexibilité aide à la réorientation en cas de besoin. 

samedi 20 mai 2017

RH: Secrets de la génération Y (2/2)



Les systèmes: 


11- Transformer l'infrastructure de votre entreprise pour la rendre beaucoup plus fonctionnelle, avec une haute technologie et un grand nombre de logiciels dans lesquels peuvent être partager des projets et des idées.

12- Mettre en place des indicateurs ouverts, transparents et accessibles à tous les employés pour qu'ils soient en mesure de les partager et améliorer par la suite les processus. Il doit être un système qui permet de partager, volontairement, les meilleures pratiques et les nouvelles idées.

13- Générer des mécanismes de reconnaissance des travaux réalisés par la génération Y pour le leurs collègues du travail. C'est comme dans les réseaux sociaux, nous mettons  un "j'aime" à ce que nous aimons. Il s'agit de créer le même mécanisme à l'intérieur entre les différentes équipes de travail dans lesquels chacun montre son goût et son appréciation pour quelque chose qu'il a bien fait.

14- Placer de manière permanente, sur les écrans de l'organisation, un système représentatif de l'évolution, par équipe, des indicateurs de gestion du développement de la finalité de l'entreprise en particulier ceux à caractère social. En effet, les employés associent et ressentent l'impact social de leur travail.

15- Permettre aux dirigeants des différentes équipes d’être nommés par un vote à la majorité de leur équipe, par exemple, si une personne obtient plus de 70% des voix de l'équipe c'est lui qui devrait être le chef de file.


16- Développer un système d'évaluation, entre les collègues et le sommet, recherchant des mécanismes de soutien pour qu'ils inscrivent volontairement dans des programmes pour améliorer leurs compétences. Actuellement, l'évaluation des compétences des employés est un sujet urgent, c'est un moment critique. Les Millénaires (Génération Y) acceptent et comprennent mieux si cette évaluation provient de leurs pairs, ils accepteront les remarques et vont se développer comme le personnel.

17- Créer de nouveaux systèmes de compensation où il y a un meilleur équilibre entre les salaires et la reconnaissance.Les systèmes de rémunération devraient être fondées sur la performance du projet. Ils devraient être à court terme, un mélange de bonus de groupe, les primes individuelles générées par la reconnaissance du groupe.

18- Définir les différents types de contrat de travail pour travailler dans le système qui convient le mieux à leurs motivations. Vous recherchez les mécanismes pour créer leurs propres entreprises, en associant les projets,
Ils sont liés par le télétravail, etc.

lundi 1 mai 2017

RH: Secrets de la génération Y ! (1/2)



 L'avenir des organisations dépend de notre capacité et de nos connaissances  en tant que directeurs à relier professionnellement la génération Y en fonction de leurs talents et motivations dans les domaines de la culture, du gouvernement, la stratégie, la structure et les systèmes. Voici 20 idées pour optimiser son potentiel humain en génération Y, toutes d'après le célèbre ouvrage " Le futur du management" écrit en 2008 par Gary Hamel. Le but de l'ouvrage est d'analyser quels aspects avaient changé jusqu'à présent et ce qui pourrait être l'avenir des organisations sur la base des nouvelles tendances.
   Ces idées sont réparties sur les cinq aspects suivants: La culture, le gouvernement, la stratégie, la structure et les systèmes.

La culture:

1- Reconnaître que la génération Y sont différents et nous devons nous adapter à eux et pas l'inverse.
2-Créer un climat de collégialité et pas d' hiérarchie. Vous en tant que leader, vous devez apporter du soutien et ne pas se comporter comme un policier!

Le gouvernement:

3- Garder dans le conseil directive les indépendants de la génération Y. Sa constitution leur permettra d'apprendre à penser comme ils le font dans la nouvelle ère de l'information.
4- Créer des comités de pensée stratégique bimestrielle  avec les membres du conseil et les dirigeants des différentes équipes de la génération Y. Ainsi, ces derniers vont mettre  en œuvre les stratégies d'une manière  plus adéquate.

La stratégie: 

5- Redéfinir le but de votre organisation: Réaliser les profits dans le but d'améliorer les conditions de vie de ses clients et d'intégrer, dans sa stratégie, toutes les parties prenantes de l'organisation.
6- Commencer à faire le processus de réflexion stratégique ascendante (bottom-up) afin que le conseil d'administration se rencontre  avec les comités la réflexion stratégique.
7- Notez que la stratégie doit être très ambitieuse, Elle doit viser devenir  une société multinationale avec des produits qui répondent à l'humanité et  tout le monde. Devenir une entreprise globale et locale en même temps. Cette idée attirera  la génération Y avec plus de force.
8- Établir des partenariats avec des pays dans le monde. Les réseaux sociaux, grands alliés de la génération Y, vous permettent d'accéder à des contacts dans le monde entier.

Structure:

9- Définir des structures horizontales: C'est-à-dire des structures plates dans lesquelles sont crées des équipes formés volontairement pour des projets d'affinité selon les talents ou les intérêts des différents membres. Ces structures sont également appelées des structures de type Spaghetti.
10- Élaborer une stratégie et non l'inverse (descendante ou top-downcomme nous le faisons actuellement. Tous les employés, peu importe leur poste, peuvent apporter une contribution à la stratégie de l'entreprise. Ils se rencontrent avec le conseil d'administration pour collaborer et travailler en équipe à fin d'atteindre les objectifs. 
   Il est à noter que la génération Y ont des liens très courts avec les organisations et ne sont pas tolérant à la hiérarchie ( Sorte de punition) .






vendredi 6 janvier 2017

Bonheur : Comment être et rester heureux dans ton travail? Les 10 conseils des experts!


Voici 10 leçons de vie pour savoir comment vous pouvez obtenir (et conserver) votre bonheur au travail:

1. Il est toujours votre choix:

   Vous êtes la seule personne qui peut prendre une décision consciente d'être heureux au travail. Même face à des aspects négatifs au lieu de travail, vous avez besoin de penser positivement. Vous pouvez le faire en trouvant des choses qui sont bonnes et ne pas se focaliser seulement sur les mauvaises. Restez loin des gens négatifs et associez vous avec ceux qui sont heureux au travail dans le but de le transmettre à vous.

2. Prenez le contrôle de votre propre développement:

   Il n'y a personne qui doit s’inquiéter, sur ce point, plus que vous. Les carrières d'aujourd'hui sont toutes autour du comment passer d'un poste à un autre et de cumuler les expériences tout le long du carrière. Les mouvements latéraux et les affectations enrichissantes sont plus importantes que de suivre une ligne droite vers le haut. Il ne faut pas  avoir peur de lever sa main et de demander quelque chose de plus.

3. Ne soyez pas timide et demandez des Feedback :

   Pour la plupart des gens, l'évaluation annuelle du rendement est le seul moment où ils reçoivent une rétroaction; Il est le processus le plus  générateur de l'anxiété. Millénaires (Y) et la génération X ont transformé ce processus à l'envers, en demandant à leurs managers des rétroactions constantes. Ils veulent savoir très tôt et souvent comment ils le font. Pour certaines personnes, il est le seul moment où ils obtiennent une reconnaissance de ce qu'ils font bien. Pour d'autres, il est l'occasion de réparer quelque chose qui pourrait ne pas bien fonctionner avant qu'il ne devienne un problème insurmontable. Si nous croyons que chacun de nous est responsable de notre propre développement, l'obtention de la rétroaction est un élément clé de l'équation.

4. Rassemblez votre système de soutien:

   Rechercher un groupe de personnes de soutien qui partagent des antécédents similaires, des expériences et des modes de vie que vous. Cela peut aider à prendre une partie de la pression hors de vous au travail, et d'avoir votre «équipe»  pour exprimer vos sentiments en toute sécurité .

5. Ne pas essayer de changer les autres:

   Vous ne pouvez pas changer quelqu'un d'autre, mais seulement la façon dont vous réagissez à lui ou à elle. Ne laissez pas les actions des autres influencer votre journée. Il y aura des collègues qui vous frottent dans le mauvais sens à un moment donné, et si vous les laissez vous prendre, ils auront le contrôle sur votre engagement au travail.

6. Évitez la négativité:

   Prendre la décision d'être heureux au travail signifie éviter les commérages, les conversations négatives et les gens malheureux que vous ne pouvez pas changer. Peu importe la façon positive que vous pourriez être personnellement, les gens négatifs peuvent avoir un impact sur la façon dont vous vous sentez. Ils tendent à aspirer tout l'oxygène dans l'air, vous laissant à bout de souffle et frustré.

7. Gardez les problèmes personnels dans le lieu de travail:

   Lorsque vous êtes submergé par des problèmes personnels, il est vraiment difficile d'être heureux et productif au travail. En outre, vos collègues ne veulent pas se noyer dans vos problèmes, même si elles semblent intéressés. Croyez-moi quand je dis qu'ils ne sont pas!

8. Mise au point sur le positif:

   Même si vous ne pouvez pas aimer votre travail, il y a toujours quelque aspects  que vous aimez. Trouvez cette pépite et  concentrez vous sur elle, et comment l'intégrer dans d'autres aspects de votre journée.

9. Faire des amis:

   La plupart des gens se moquent de l'idée d'avoir un «meilleur ami au travail", mais franchement, il est très important. Étant donné le nombre d'heures consacrées au travail, il est donc nécessaire d'avoir un petit groupe de personnes sur qui vous pouvez vraiment compter: Leur soutien, les ressources, le partage et le soin.

10. Avoir un fond de "sortir de prison" à la main:

   Parfois, vous avez juste besoin de quitter son emploi; C'est la meilleure réponse. Il n'y a rien de pire que de réaliser cela et ne pas avoir la capacité de le faire à cause des soucis d'argent. Vous avez besoin de mettre de côté des ressources pour vous donner la liberté de marcher loin selon vos propres conditions.
   Vous pouvez absolument être en meilleure santé et plus heureux dans tous les aspects de votre vie parce que vous avez vous même le contrôle. Personne d'autre, sauf vous, n'a le pouvoir de se désengager et de perturber votre vie. Ne laissez personne d'autre prendre les rênes de la responsabilité de votre engagement.


jeudi 8 décembre 2016

L'évaluation des formations (3) : Place et conseils

 La place de l’évaluation et les conseils de mise en place :
1. L’évaluation dans le système de formation :
  L’évaluation est une étape parmi d’autres de l’action de formation, il est alors nécessaire d’aborder ces étapes pour une meilleure mise en place. Dans l’ingénierie de formation, les spécialistes parlent de quatre grandes étapes : La conception, la préparation, la réalisation et l’évaluation et où ces « phases doivent être gérées de façon successive, mais parfois simultanée, pour les activités d’évaluation notamment qui doivent être prévues dès la phase de conception… » (Pithon & Riffle, 2007, p. 381).  (Pithon & Riffle, 2007).
- La conception : C’est l’étape de recueil des informations pour faire l’analyse des besoins en formation. Il est déjà question ici d’évaluation, en effet, Sur la lumière de cette étape, on dispose des informations nécessaires afin d’élaborer les objectifs de la formation. Les objectifs concernent les capacités ou aptitudes que les participants devraient acquérir à l’issue de la formation (Ledoux & Ledoux, 2004), et un des rôles de l’évaluation peut être de vérifier l’atteinte de ces objectifs.
- La préparation : Il s’agit, dans cette étape, de toutes les actions à faire avant la phase de réalisation, comme la préparation des supports pédagogique, le choix d’une pédagogie…etc.
- La réalisation : C’est l’étape de mise en place du travail conçu et préparé avec les choix des méthodes pédagogique dans le triangle : Savoir, professeur et élèves.
- L’évaluation : L’évaluation est une étape transversale présente dans toutes les étapes comme le cas dans l’enseignement. Par contre, il est privilégie, dans la formation professionnelle, la fin de formation pour faire l’évaluation.
2. Questions pour une bonne évaluation :
L’évaluation est un choix et une décision à prendre au sérieux,  ainsi à fin de mieux  préparer se mise en place, il convient de poser un certain nombre de questions : Cottereau (2004) et d’en chercher les réponses :
- Pourquoi veut-on évaluer ? Quelle est notre intention d’après ce choix ?
- Que veut-on évaluer ? Quel est l’objet de notre évaluation ?
- Qui va évaluer ? Quelle est la partie qui va faire l’évaluation ?
- Comment va-t-on évaluer ? Quelle est la méthodologie à poursuivre ?
- A l’aide de quoi va-ton évaluer ? Quels sont les dispositifs à mettre en place ?

- Quand va-t-on évaluer ? Quels sont les délais de début et de fin qu’il faut respecter ? 

mardi 6 décembre 2016

L'évaluation des formations (2) : Pourquoi faire de l’évaluation ?


   L’évaluation de la formation est un vrai investissement qui nécessite la mise en place de moyens et de ressources humaines, matérielles et financières. En effet, il devient légitime de se poser la question du pourquoi faire l’évaluation ?
   Dans le domaine professionnel, Pain (1992), signale la recherche grandissante de la qualité des formations ce qui a engendré un accroissement de responsabilité et de demandes adressées aux responsables de formation. Pour Pain l’évaluation permet la mesure de l’efficacité, la valorisation  et l’amélioration des formations.
   Dunberry et Péchard (2007) ont regroupés les raisons de l’évaluation autour de trois grandes raisons en se basant sur les travaux des auteurs (Kirkpatrick, 1998 ; J. J. Phillips, 1997 ; Russ-Eft & Preskill, 2001 ; cités par Kraiger, 2002). Il s’agit :
 - L’aide à la prise de décision : Elle permet aux  établissements aptes, dans le cas des universités, de prendre des bonnes décisions sur l’accréditation des formations. Pour les universités, elle est un outil efficace pour évaluer la qualité des formations. Et pour les étudiants, les résultats permettent de bien faire son choix d’université et de formation envisagée.
- La rétroaction (le feedback) : L’évaluation permet un retour sur les mesures prises et les moyens mises en œuvre, dans le but de renforcer les formations et améliorer la démarche qualité de la formation. Il prend souvent la forme d’une comparaison entre les objectifs fixés en amont et les résultats atteints en aval.
- La marketing (la promotion) : L’évaluation vise la mise en valeur des formations au niveau interne, à l’égard des étudiants, et au niveau externe à l’égard des établissements d’évaluation et les autres universités concurrentes.

   On peut dire alors que  nombreuses sont les raisons de mise en place d’une démarche d’évaluation de la formation. Cependant,  l’article L. 6353-1 de la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle, ne donne aucun caractère d’obligation à l’évaluation en précisant que               « L’indication des résultats de l’évaluation des acquis de la formation est conditionnée par l’existence même d’une telle évaluation prévue par le programme de formation […] cette évaluation n’est pas obligatoire […] il convient néanmoins d’encourager le plus possible l’évaluation des acquis de la formation sous quelque forme que ce soit » (B. Martinot, communication du Délégué général à l’emploi et à la formation professionnelle à l’attention de la Délégué générale ayant pour objet l’interprétation de certaines dispositions issues de la loi du 24 novembre 2009 relative à l’orientation et à la formation professionnelle, 9 septembre 2010).

lundi 5 décembre 2016

Formation: L'évaluation des formations (1)

La démarche de l’évaluation en formation :

   Le recours à l’évaluation de la formation dans une institution ou une organisation, est une démarche complexe pour plusieurs raisons. En effet, plusieurs facteurs jouent en faveur de l’évaluation et sa mise en œuvre. Cependant, Il y a un certain nombre de facteurs qui ne laissent pas  les acteurs de la formation et ne les encouragent pas à faire l’évaluation globale des formations, ou de ne faire que certains types d’évaluation. Donc, il est très important de s’interroger sur ces questions ainsi que  sur les mesures de valorisation de  l’évaluation des formations. 

A. De l’évaluation à l’évaluation en formation :

1. L’évaluation au sens large :

   Dans les dictionnaires, le terme « évaluation » renvoie à l’acte de déterminer la valeur de quelque chose. On trouve dans les racines du mot les notions de force, de valeur et l’idée que l’évaluation serait l’acte de calcul, de mesure, de détermination, de fixation, d’estimation des forces ou valeurs de quelqu’un ou quelque chose (Wientsen, 2001). Cette définition traduit le caractère général de l’évaluation qu’on trouve dans plusieurs domaines : « le terme aujourd’hui, est utilisé à tout propos. A l’école, on évalue les élèves ; dans les entreprises, les personnels. On veut évaluer l’activité médicale. On évalue l’impact d’une campagne de publicité. On évalue les universités, comme les accidents nucléaires… Des comités d’évaluation se constituent un peu partout… » (Hadji, 1989,  p. 17). 

2. L’évaluation en formation :

   Dans champs de la formation, plusieurs chercheurs ont travaillé sur l’évaluation donnant ainsi lieu à une panoplie de définitions à l’évaluation selon ses catégories, ses moments, ses fonctions...Par exemple, l’évaluation peut être définie comme étant : « un jugement par lequel on se prononce sur une réalité donnée en articulant une certaine idée ou représentation de ce qui devrait être, et un ensemble de donnée concernant cette réalité » (Hadji, 1989, p. 178). Cette définition fait appel de manière sous jacente aux notions de référent et de référé (Hadji, 1992). Le référent désigne «  ‘ ce par rapport à quoi’ le jugement de valeur est porté ou est susceptible d’être porté…on parle notamment de normes de jugement, de critères d’appréciation, de conduites attendus, de points de repères, etc.» » (J.M Barbier, 1985, p.72). Le référé, quant à lui, désigne «  ‘ce à partir de quoi’ un jugement de valeur est porté ou est susceptible d’être porté…on parle notamment de données de départ, de faits de base, d’informations concrètes à partir desquelles est porté le jugement de valeur » (J.M Barbier, 1985, p.64). En effet, l’évaluation est conçue comme étant un jugement émis, sur la base de critères ‘’ le référent’’ et qui porte sur des données et des informations ‘’le référé’’.

2.1. Les types d’évaluation :

   Dans la pratique, et selon les domaines d’application, l’évaluation peut être subdivisée en deux grandes catégories. La première est dite informelle tandis que la deuxième est plus structurée et dite formelle. Ainsi, pour faire la distinction entre les deux pratiques, on peut dire que les pratiques d’évaluation formelles sont « toutes les pratiques structurées et explicites visant à établir un jugement sur la valeur d'un processus ou produit de la formation.[…]Les pratiques informelles d'évaluation de la formation regroupent plutôt les pratiques spontanées, non structurées, implicites ou explicites, visant elles aussi à établir un jugement sur la valeur d'un processus ou produit de la formation. » (Dunberry & Péchard, 2007, p. 5). 

2.2. Les moments de l’évaluation :

   L’une des caractéristiques importantes de l’évaluation est le moment dans lequel se déroulent ses pratiques. En général, la distinction est à faire entre trois moments différents de l’évaluation : avant, pendant et après la formation (Hadji, 1989). 
   Dans le domaine de la formation professionnelle, les chercheurs (Beech & Leather, 2006) distinguent deux moments après la formation : L’évaluation « à chaud »  juste après la formation et l’évaluation « à froid »  qui se fait entre 2 et 12 mois après la fin de la formation (Cuby, 2002 ; Devos & Dumay, 2006 ; Garnier, Gasse & Parent, 1991 ; Kirkpatrick, 1998 ; Steib, Bricard, Granry, Payen & Scherpereel, 2003).

2.3. Les fonctions et buts de l’évaluation :

   Ce qui caractérise également l’évaluation en formation est l’attribution d’un certains nombre de fonctions. Voici une description de ces différentes fonctions proposé par Pithon et Riffle (2007) :
- La fonction informative : Chercher des  informations sur le fonctionnement du dispositif de formation.
- La fonction diagnostic : Faire  un bilan de capacités des futurs formés.
- La fonction pronostique : Faire un bilan des potentiels.
- La fonction sommative : Donner  le résultat des performances.
- La fonction formative : Réguler l’enseignement ou « relation professeur-savoir ».
- La fonction formatrice : Réguler les apprentissages ou « processus élèves-savoir ».
-La fonction auto-évaluatrice : Réguler leurs apprentissages eux mêmes.


Bonheur: Le mindful management




Nous sommes dans un changement de paradigme, la crise de sens qui touche notre monde moderne impacte tous les domaines de notre société, le travail, la famille, l’école, etc.    
   Dans ce contexte sociétal marqué par la peur avec leur effets négatifs sur l’être humain, sur les relations humaines et sociales, sur les organisations ; il importe encore plus aujourd’hui d’avoir des responsables porteur d’une vision réaliste, capables de s’engager et d’engager les équipes dans une prospective qui apporte des réponses adaptées et pertinentes en matière de management.

   Le paradigme s’oriente vers un management humaniste avec la pratique du mindful management ou le " management en pleine conscience".
   Le terme de La pleine conscience (« mindfulness »), selon la définition généralement acceptée de Jon Kabat-Zinn, consiste à porter intentionnellement attention aux expériences internes (sensations, émotions, pensées, états d'esprit) ou externes du moment présent, sans porter de jugement de valeur.

   Plus concrètement, il s'agit de focaliser son attention sur sa respiration, ou un endroit du corps, ou un mouvement, ou tout autre stimulus, et de ramener son esprit à cette focalisation chaque fois que l'attention s'en éloigne. Plus précisément, cela peut se pratiquer de façon formelle et informelle. 

   La pratique formelle consiste à s'asseoir pour pratiquer. Il s'agit vraiment de prendre le temps, 45 minutes par exemple, pour effectuer différents exercices. 



   La pratique informelle, quant à elle, consiste à focaliser son attention, moment après moment, sur ce qui se passe à un moment donné de la journée. Quand on fait la vaisselle, par exemple.